par Connor Williams (11e année)
Gardien de but pour Ottawa Fury FC
En 2013 j’ai été choisit pour aller
m’entraîner au Brésil pour un mois avec une équipe professionnelle de « futbol » (Botafogo FC). Au Brésil, le soccer est tout ce que les jeunes et les adultes vivent. C’est un des pays le plus reconnu pour le talent et l'admiration du sport.
Lors de ma visite j’ai resté dans une dorme
avec tous les autres joueurs et professionnels du club. On dormait de deux à
quatre par chambre. L'équipe était composé de joueurs de plusieurs
différentes nationalités, mais quand même, la majorité étaient Brésilien. Il y avait
des joueurs de la Nouvelle-Zélande, Chine, Kazakhstan etc. J’avais le désavantage
de ne pas pouvoir parler leur langue (Portugais) donc, communiquer avec les
gens était difficile au début. Mais, au travers ma visite on a trouvé des
manières de ce parler et j’ai même appris un peu de Portugais. J’ai vécu un très grand choc culturel, car les gens n’agissent pas comme ce qu’on voit ici.
Chaque matin je me levais à
6 :00 pour aller déjeuner. Notre déjeuner étais composé d’œuf, pain,
viande et différents fruits. Après cela on allait nous entraîner de 7h à 9h.
Chaque pratique l’entrainement varia. Au début c’étais difficile pour moi à
m’adapter à leur climat, donc je n’étais pas capable de m’entraîner au même
niveau que les autres joueurs. Notre journée continua avec un dîner à 12h qui
étais composé de viande, salade et pâtes. Chaque jour notre nourriture
changeait et j’étais très content de pouvoir goûter différentes cuisines
brésiliennes. À 3h on avait notre deuxième session d’entrainement qui finissait
avec notre soupe. On répéta cela chaque jours sauf les dimanches car c’est la
journée de repos pour les Brésiliens. Tous
les joueurs on prit le temps pour se reposer et prendre du temps pour eux-même.
J’ai été très chanceux de pouvoir m’entraîner la bas. Le niveau de futbol
est supérieur à ce qu’on est exposé au Canada et aux États-Unis. Cet
entrainement m'a beaucoup amélioré comme gardien de but et m'a aidé à
progresser dans mon sport. Non seulement cela mais, j’ai obtenu beaucoup plus
d’appréciation des choses qu’on a accès au Canada et à ne pas laisser des
opportunités comme celle que j’ai eu aller à chance.
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